jeudi 31 mai 2012

Charnel et Cérébral


Madame Billie Ellington fréquentait les meilleurs cercles gynarchiques de Paris et les femmes qu’elle y côtoyait, était ses intimes. Elle devait d’ailleurs y puiser de nombreux conseils dans l’art de soumettre les hommes : elle excellait dans ces techniques comme vous pourrez le constater plus loin. Il était donc tout à fait conseillé de faire sa connaissance ; sa curiosité, sa libre-pensée y invitaient. J’avais donc hâte de la recevoir et Madame Sarah Getz me l’amena. Madame Ella Davis me fit part de son enthousiasme en me disant que cette fréquentation était tout à fait digne de moi et me demanda de pouvoir rester lors de notre entretien.

Billie était plus belle que je ne l’avais imaginé. Sa peau bronzée, son allure altière, son visage rayonnant me séduisirent tout de suite. Lorsque je la connus davantage et l’invitais à me parler librement de tout, elle renonça à cette apparence de candeur et d’innocence qu’elle se donnait en société. Sa philosophie était des plus intéressantes et consistait à procurer aux femmes des plaisirs toujours nouveaux au détriment des mâles. C’était la réincarnation de Gaétane (Xavière Gauthier) capable de matérialiser tout ce que l’on trouve dans « Histoire d’I ». Elle devait d’ailleurs m’en fournir la preuve comme je vais maintenant vous le raconter.

Nous parlions, un jour, des rapports entre les sexes, de l’attitude des hommes et des femmes, pour finir sur la manière dont doivent se dérouler les relations sexuelles. Elle m’expliqua que la gynarchie était nécessaire et que sous son apparente utopie, elle devait fonctionner sous la forme d’une micro-résistance. Petit à petit, les hommes seraient contraints d’y consentir et n’auraient pas d’autres choix que d’y apporter tout leur crédit. Elle m’exposa également que le désir finit toujours par s’émousser et qu’il ne faut pas hésiter, pour l’exalter, avoir recours à des expédients artificiels.
- Rien n’est pire, pour ce sexe, qu’un excès d’excitation. Il en résulte, pour l’homme, énervement, impuissance, culpabilité et passions tristes car son imagination n’arrive que rarement à remplacer ce qu’il a étourdiment gaspillé. Par contre, l’esprit continue à susciter cette excitation chez les femmes. N’avez-vous jamais essayé de malmener un homme, de le fouetter ?

Il est nécessaire de vous préciser qu’il était inutile de ruser avec Billie qui évalua, dès sa première visite, mon degré d’initiation. Mais elle n’avait rien à craindre de ma part, car je partageais totalement sa propension à la domination et à la gynarchie. Aussi lui avouais-je que j’en avais fait plusieurs fois l’expérience mais que parfois je renonçais à aller plus loin pour éviter des douleurs trop intenses. Elle éclata de rire.
- Il y a très peu d’hommes qui connaissent la volupté de la douleur, me dit-elle. Et il y a trop peu de femmes qui osent en infliger, surtout avec les verges ou le fouet. Jusqu’à présent je n'en ai rencontré que quelques-uns. Car parmi tous les détenus condamnés à recevoir le martinet, tous redoutent ce châtiment. Le premier était un misogyne et un homophobe. Cet idiot, cet homme de la pire espèce réitérait ses méfaits pour le plaisir d’être fouetté. Il trouvait même une volupté plus grande dans le fait d’être châtié en public. Il était d’ailleurs très fier d’être traité ainsi. Peut-être criait-il et se lamentait-il sous les coups, mais au moment de la douleur la plus aiguë, il avait les épanchements les plus voluptueux. De retour dans sa cellule, il se déshabillait, regardait dans un miroir son corps horriblement meurtri, tandis que sa main agaçait son pénis. Le second, je viens de le découvrir ici. Il est à la prison de la ville et condamné par notre Société à trente coups de martinet par jour, pour une tentative de viol. Jamais il ne crie et son visage exprime plus de volupté que de douleur. Avez-vous envie d’assister à l’une de ces séances ?

Lire la suite à « CorrespondanceS Maîtrisées ».

mercredi 30 mai 2012

Beautiful Barefoot Girls

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Dana Specht

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Boot Slaves

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Maîtresse Angélie


« Maîtresse Angélie Montréal (Québec, Canada)
Dominatrice, Manipulatrice, Spécialiste de l'humiliation et des contraintes restrictives, J'inflige avec plaisir les tortures physiques, les tourments psychologiques, les dévergondages autoritaires.
Femme, Féminine et bien dans sa Peau, Ravissante et dont la Symphonie des Talons est particulièrement Infernale, indiquant une Assurance, Mêlée à une Joie de Vivre.
Je connais Mon Pouvoir de Séduction et Je l'affiche ouvertement. »


Maîtresse Angélie - www.maitresseangelie.com

Les hommes et la gynarchie


En ce qui concerne leurs phantasmes sexuels, vous avez raison : beaucoup proviennent des interdits qu’ils ont eux-mêmes créés, nous rendant responsable si ceux-ci ont été outrepassés. L’image de la maman et de la putain perdure.

Ils sont capables de tous les débordements pour parvenir à leur fin sexuelle. Certains vont même jusqu’à profiter des périodes et des zones de non-droit pour violer des femmes pendant les guerres, pour d’autres, encore pire, voyager dans des pays en voie de développement pour user et abuser de leur déviance pédophile. S’ils n'ont pas les moyens, ils font vivre l’enfer dans leur propre foyer. Alors que ceci pourrait être évité, si c’était les femmes qui régissaient le monde et l’éducation.

Mais peut-être n’avez-vous pas entièrement raison, leurs phantasmes pourraient finalement devenir un atout, puisque’au fond d’eux-mêmes, sans se l’avouer, ils rêvent d’une autorité féminine, d’un matriarcat, beaucoup développé dans leur imaginaire. Sauf que ce qui est capital c’est moins le matriarcat que la gynarchie, que nous appelons la matristique. C’est les femmes d’abord qu’ils doivent célébrer, puis les mères ensuite si et seulement si celle-ci consent à enfanter, car ce droit lui appartient à elles seules et n'a rien d'obligatoire.

Il existe avec la gynarchie, une période où nombre des idées communes que vous teniez d’un monde dominé par les hommes, de vos parents, de votre milieu s’effritent et laissent place à un désert angoissant. N’arrêtez pas pour autant de faire votre trajet gynarchique. Au contraire. C’est en continuant que vous dépasserez cet état d’inquiétude, pour commencer à trouver un réel plaisir à résoudre des problèmes personnels puis généraux.

Arriverons-nous à sauver certains hommes ?

En fait, votre rapport aux hommes dépend de ceux que vous avez rencontrés depuis votre naissance, correspondant à votre milieu. On n’y échappe pas… Et là, tout est possible. Souvent le pire, parfois le meilleur. Car vous pouvez subir l’homme qui vous fâchera définitivement avec son sexe. Faites ce que vous voulez avec celui-ci, en revanche, vous pouvez peut-être épargner le second… Mais attendez, avant de vous faire une idée, d’avoir pu juger sur pièce.

Lire la suite à « Lilith & Lilou »

mardi 29 mai 2012

Chronique d'une lesbienne fétichiste


Pour débuter ce journal, je vais vous faire part de mon enthousiasme à ouvrir ce blog. Je vais pouvoir enfin mettre en image ma fascination, mon émotion face à la beauté singulière du pied des femmes. Il s'agit d'un enchantement qui remonte très loin de ma prime enfance. Des souvenirs émus me reviennent de mon institutrice du cours préparatoire, qui balançait nonchalamment ses sandales pour faire apparaître par intermittence un petit pied cambré d'une blancheur qui me troubla.

Pour cette première publication, nous allons nous émerveiller sur les filles d'Abby Winters. En effet, je visite régulièrement ce site que je trouve merveilleux par la candeur de ses modèles.











Annonce recherche webdesigneuse, webmistress, administratrice Web





L’association Penthésilée est responsable d’un projet de site Internet qui a pour thème une certaine vision du féminisme, de la matristique et de la gynarchie. Elle souhaite développer une plate-forme, dont la proposition est d'imaginer un monde qui n'aurait pas connu l'avènement du patriarcat. L'idée est de penser un concept utopique, invitant à la féminisation des esprits pour inventer un monde débarrasser de la domination masculine et ses corollaires de violence et de nihilisme.



Pour bien nous y prendre, nous avons choisi de prendre le biais de la fiction et des arts. Ainsi, ce site Internet va se développer sur plusieurs axes avec des rubriques distinctes. D'abord, la culture sera bien présente sur le site avec la littérature, l'histoire, les arts visuels, le cinéma et la mode. Ensuite, nous nous intéresserons au féminisme, à la matristique et au sapphisme, avec une approche sociale et poétique. Enfin, une rubrique sur l'érotisme féminin dont les auteurs sont des femmes, dans laquelle nous avons l'intention de réaliser nos propres productions.

Ils nous semble que ce site a un caractère audacieux car il veut rebondir sur les revendications des nouvelles générations de féministes qui s'approprient le droit à leur propre désir, sans avoir à se confondre avec un érotisme toujours dominé par les hommes. Il s’agit de développer une certaine vision de l’érotisme, conjuguée au féminin et destinée à être différent des sites classiques ;  il est absolument éloigné de toutes productions pornographiques et se propose de toujours donner la priorité aux femmes, aux valeurs féminines, dans un élan féministe.

Gynarchie est destinée à être le support de cette association. L’équipe compte sept associées dont des graphistes, des rédactrices, des modèles et un administrateur de site. Cette petite équipe travaille au quotidien au concept de ce projet pour pouvoir le défendre dans de bonnes conditions. Celle-ci est presque entièrement féminine et domine la direction du projet.

Nous recherchons une webmistress, une webdesigneuse, connaissant très bien l'environnement Web et des logiciels de création de site. Il nous faudrait une personne autonome pour travailler avec l'esprit d'équipe. Nous comptons sur son œil talentueux et moderne, pour donner au futur site une image pertinente.

Pour en savoir plus : Gynarchie et Matristique

Mistress Eve (la suite)


Mistress Eve - Galerie XIV


Mistress Eve - Galerie XV


Mistress Eve - Galerie XVI


Mistress Eve - Galerie XVII


Mistress Eve - Galerie XVIII


Mistress Eve - Galerie XIX


Mistress Eve - Galerie XX

Mistress Eve : www.mistresseve.com

Complicités féminines 2




À maintes reprises, j’ai eu envie de passer subrepticement sous sa robe de printemps, parce qu’en ce qui me concerne, il y a aussi ça entre deux amies qui s’aiment tendrement, et le doigt le plus agile, le plus délicat, ne pourrait remplacer le velours sucré de deux lèvres onctueuses, entre lesquelles passent une fine langue et le souffle de la tendresse, qui viennent s’unir à la bouche, pour contempler ce moment de volupté. Fallait-il lui faire part du désir fou qui me captivait, qui m’hypnotisait ? Elle en avait entendu parler par des amies, mais elle ignorait complètement ce que ça pouvait être, se doutant toutefois que ça ne pouvait être que bien bon.



- Les sensations sont si bonnes, surtout quand on a été préparée par la fessée.
- Oh ! je me souviens de ce grand plaisir dont je me suis délectée, de mon amie Catherine, un jour que la directrice m’avait fessée énergiquement. Cela me brûlait par tout le corps, qui dansait de ses mouvements, et Catherine qui était ma bonne camarade, me fit, en me chatouillant, beaucoup plus de transport que les autres fois.
- Alors ? Vous avez l’air de vous aimer, vous semblez fusionner, vous le faite si bien ensemble, je vous voie comme des cygnes.
- Oh ! oui, l’amour que j’ai pour toi est tout à fait différent. Les plaisirs sont tout autre.
- Et à quoi ressemble cet amour ?



Elle se rua sur moi et me répondit tendrement par un baiser brûlant et appuyé. Ces conversations, qui se renouvelaient à chaque visite, quand sa mère nous laissait seules, enflammaient nos sens, sans que nous puissions toujours éteindre, par le système habituel, les flammes dévorantes qui embrasaient nos corps. Césaria me harcelait, me demandant en grâce de la laisser venir chez moi, nous passerions une demi-journée ensemble, toute une après-midi d’amour échevelé, d’étreintes passionnées, à se rapprocher du firmament. Elle s’échapperait et viendrait me retrouver. Sa mère n’en saura rien ; toutefois, le sachant, viendrait-elle venir la cueillir chez moi ? J’avoue que j’aimerais assez voir sa surprise.



Elle fit tant et si bien, que je finis par consentir. J’en avais autant d’envie qu’elle, sinon davantage. Il fallait qu’elle trompe la surveillance de sa mère, donc je devais l’attendre toute la journée du lendemain dans mon appartement, et l’on devrait l’introduire dès son arrivée.

J’attendais avec l’impatiente fiévreuse d’une jeune amoureuse, qui en est à sa première rencontre. J’allais donc pouvoir enfin contenter mon violent caprice, dont la réalisation sans cesse reculée me rendait malade. J’allais pouvoir enfin découvrir cette jolie fée, cette troublante pucelle, je ne dis pas vierge à dessein, caresser à mon aise, embrasser cette fine peau blanche, dont mes caresses m’avaient informé sur la douceur de la soie dont elle était tissée. Finalement, après une heure d’attente agitée, Césaria accoura dans mes bras.



Ce fut une effusion, un épanchement, un échange des plus délicates cajoleries continues, en nous découvrant réciproquement. Ses charmes étaient dans tout l’éclat de leur candeur, n’ayant jamais reçu le moindre effleurement, les seins menus, replets, malléables, emplissent ma main, une subtile toison flavescente tapisse le monticule, deux cuisses rondes s’effilent vers les genoux, continues par deux jolies jambes, enfermées dans d’élégants bas de soie noire, qui se terminent dans deux petits souliers minuscules, emprisonnant les deux petits petons, qui supportent la charmante déesse des fleurs.



Derrière, au bas de la gracieuse cambrure des reins, une adorable paire de fesses blanches, rebondies, arrêtent mes yeux et mes lèvres, et je les couvre de caresses, agenouillée devant l’aimable croupe, avant d’aller embrasser le joli conin rubicond, dont la délicate odeur de jasmin vient jusqu’à mon nez par la fente parfumée, taillée en pleine chair entre les cuisses. Elle consent ; je la prie de se retourner, voulant lui offrir, comme je suis ici, à genoux, sa première leçon de langue.

Lire la suite à "The Crash Pad Series"




Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne d'Olympe de Gouges


« La femme a le droit de monter sur l’échafaud, elle doit avoir également celui de monter à la tribune ». Femme de lettre et de tête, Olympe de Gouges (1748-1793) s’illustre dès les premières heures de la Révolution par ses idées de réforme. Devant l’assemblée constituante, elle réclame l’égalité des sexes. Avec sa Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne (1791), son œuvre la plus célèbre, cette première théoricienne du féminisme reprend point par point la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1789 en une inversion parodique : « La femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits ». Son texte, à l’instar de son exhortation finale, « Femme, réveille-toi », garde une étonnante actualité.




Candidat soumis en quête d’esclavage


Et vous messieurs ? Qu’est ce que vous êtes prêts à offrir à celles qui vous hantent ? Êtes-vous disposés à les servir, à les combler, à les vénérer ? Pourquoi LES ? Parce que je pense à votre femme, à votre maîtresse, à votre directrice, à votre patronne, à votre coiffeuse, à votre concierge et à toutes les femmes que vous rencontrez lors de vos déplacements quotidiens.

Il serait mieux que vous vous incliniez car leur beauté est à la mesure de leur grandeur d’âme. Il serait mieux que vous daignez porter leurs valises quand vous les voyez en difficulté ou offrir votre place dans les transports en commun. Il serait bien que vous vous constituiez prisonnier à leur bon vouloir. Ce serait remarquable qu’elle puisse décider à quel moment et comment tout se déroulera.

Et qu’elles aient le loisir de vous attacher, de vous mettre nu comme un vers, les mains liées dans le dos, de vous voir à genoux le visage reposant sur leurs pieds.

Alors, qu’attendez-vous pour le faire ? Si vous lisez ce site, c’est que l’idée vous a traversé l’esprit. Sur ces entrefaites, je vous invite à lâcher votre souris d’ordinateur, à aller la rejoindre dans l’autre pièce et commencer par lui baiser les pieds.

Sardax

Sardax

La Vénus à la Fourrure - Sardax

Barefoot Girls


Lorsque j’ouvris la porte d’entrée, en rentrant tardivement chez moi, j’étais surprise du silence qui régnait dans cet appartement. Cela fut étrange car Clara et Mathilde sont des soumises plutôt bavardes et ne pas les entendre me donna l’impression qu’il se passait quelque chose d’inhabituel.

Par conséquent, je pris soin de retirer mes escarpins et je m’avançais discrètement en direction de la chambre à coucher, en évitant de faire grincer le parquet. En effet, la porte de celle-ci était fermée, la lumière de la pièce allumée. Je tendis mon oreille pour essayer de discerner quelques bruits et je distinguais un je-ne-sais-quoi d’assez incertain qui pouvait ressembler à des soupirs et à des murmures.

J’entrepris donc, d’ouvrir silencieusement la porte et quelle fut ma surprise, lorsque je vis Clara en pyjamas, allongée sur mon lit avec Mathilde qui était en train de lui lécher les pieds. Elle semblait apprécier. Je décidais donc de me retirer sans un bruit, en laissant juste mon gant sur le pas de la porte. Ainsi lorsqu’elles le verront, elles seront ce qui les attend.


Barefoot Girls - www.barefoot-girls.net






Cutie Spankee

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