dimanche 5 août 2012

Histoire des Femmes en Occident


Il s'agit ici du texte de la quatrième de couverture :

Projet démesuré que de couvrir près de vingt siècles d’histoire du monde antique gréco-romain, de parcourir un espace qui va des rivages de la Méditerranée à ceux des mers du Nord, des colonnes d’Héraklès aux rives de l’Indus, de se plonger dans des documents aussi divers que les tombes d’une nécropole, la stèle inscrite plaquée aux murs du sanctuaire, le rouleau de papyrus, la scène peinte sur la panse d’un vase… et une littérature grecque et latine qui, si elle n’a pas donné la parole aux femmes, a beaucoup parlé d’elles.
On l’aura deviné, ce livre n’a pas pour fonction de remplacer l’énorme production qui existe en ce domaine. Il aborde un petit nombre seulement des questions qui nous ont paru importantes pour aider à comprendre la place des femmes dans le monde antique et, plus encore peut-être, dans la perspective d’un ensemble de volumes traitant de l’histoire des femmes, comprendre les fondements d’habitudes mentales, de mesures juridiques, d’institutions sociales qui ont duré des siècles en Occident.


Histoire des Femmes en Occident – I. L’Antiquité de Michelle Perrot et Georges Duby aux éditions Campus.


CorrespondanceS Maîtrisées


Je vous livre sur ce blog le texte que m'a écrit une amie. Je la remercie de me permettre sa publication. Je suis certaine que ça va beaucoup intéresser nos lectrices.

Je souriais. J’allais voir enfin, ce que Mlle Peggy Holiday m’avait raconté. Je la connaissais bien pour être de mes adoratrices. Mais Billie – je l’appelle ainsi, puisque Sarah en agissait de même – m’assura que ce serait génial et que Mademoiselle Getz, comme bien d’autres demoiselles, comme Dinah Vaughan, Rosemary Fitzgerald, Anita Lee et Alice O’Day y assisteraient. D’ailleurs, elles entrèrent toutes et, tout en nous saluant, nous priment toutes rendez-vous pour le lendemain soir. Je pouvais donc remarquer ce qui les caractérisaient et les ressemblaient : l’enthousiasme et leurs cortèges de sourires.



Ce jour arrivant, un autre événement empêcha ces demoiselles de la gynarchie d’être présentes : la pianiste Keny Ader arrivait de Sévilleet elle organisait une réception. Billie s’était arrangé pour que Sarah et moi-même, qui l’accompagnions, puissions entrer, dans une pièce qui nous avait été réservée. Nous prîmes place à la fenêtre et vîmes entrer trois femmes : la députée Marie-Pierre Arkana, la responsable du centre pénitencier Sabine Lenglamet et une assistante Omara Meyer. L’homme entra également, d’une trentaine d’années, accusé d’avoir sous-payé et exploité les caissières d’un supermarché. Il ne paraissait nullement effrayé, mais il détourna les yeux en nous apercevant. Billie nous précisa qu’il s’agissait là de son attitude coutumière et qu’il n’allait pas l’abandonner, comme je pourrais bientôt le remarquer.



Mademoiselle Lenglamet ligota l’homme sur un banc et Omara commença à le fouetter. Il ne portait qu’un pyjama très mince, tendus sur le corps de telle sorte que les formes de ses fesses étaient nettement visibles. Il serrait les dents, mais son visage exprimait la volupté. Celle-ci crut avec les coups. Au trentième, ses yeux s’écarquillèrent, sa bouche s’entrouvrit, il gémissait. Il touchait l’extase.
- Cela aurait dû se produire plus tôt ou seulement vers la fin, me souffla Billie. Je ne crois pas qu’il jouira une deuxième fois, ou alors, il nous faudra l’aider quand il sera avec nous, une fois son châtiment terminé, car j’ai discuté avec Sabine Lenglamet et elle accepte de le faire entrer ici… Je l’ai fait pour vous.

Je compris tout à fait ce que ceci signifiait. Je voulais aussi offrir un cadeau à Ella. La séance dura une demi-heure à raison d’un coup par minute. Après quoi, la députée s’éloigna, Sabine porta le banc dans un réduit et l’homme qu’on venait de battre entra. Nous passâmes alors toutes dans une autre salle dont les murs étaient en verre dépoli, de sorte que cette pièce fut parfaitement lumineuse tout en empêchant de nous voir de l’extérieur. Billie ordonna au détenu de se dévêtir complètement. Ce fut apparemment très difficile pour lui, puisqu’il tremblait de tous ses membres. Son derrière était, en effet, atrocement tuméfié et l’on pouvait encore compter les traces de coups.
- Tu as joui ? lui demanda fermement Billie.
- Oui, dit-il d’une voix si faible.


Hafsia

CorrespondanceS Maîtrisées - correspondancesmaitrisees.blogspot.com

Foot Printz North


Là où triomphe les femmes et les valeurs féminines, l’homme réagit à leur supériorité et opère à la lumière de la raison retrouvée. Éloigner pour toujours l’idée que la gente féminine est dépendante du désir masculin et prouver par des intentions quotidiennes que je souhaite définitivement rendre hommage aux reines convaincues et aux princesses à convaincre.



C’est ainsi qu'Ava Swan a persuadé Sabah, sa voisine et amie marocaine qui était venue pour le dîner, de se laisser aller à un plaisir encore inconnu pour elle. Ava lui assura qu’elle lui laisserait le contrôle de la soirée de demain si elle acceptait de se faire adorer les pieds par Mickaël et moi.



Hésitante, elle s’asseyait dans le fauteuil et entreprit de retirer ses bottines, ses chaussettes. Elle posait devant elle, sur la table basse, ses pieds délicats dont elle écartait les orteils pour les soulager de leur enfermement d’aujourd’hui.



Lorsque je me suis approchée de ses orteils, je me suis mis à les humer, car j’aimais leur odeur de cuir. Au contact de ma joue sur sa voûte plantaire, j’ai adoré leur moiteur et lorsque j’entrepris de passer ma langue entre ses orteils, j’ai aimé les voir s’agiter. Elle fermait les yeux. Il était évident, à la voir, qu’elle jubilait et savourait cet instant avec bonheur. Alors que moi, je me délectais à sucer son talon, Mickaël semblait apprécier son coup de pied.



Lorsque cette séance fut finie, Sabah promit à Ava de passer beaucoup plus souvent et surtout de revenir demain pour la soirée qui lui sera dédiée.

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FemDom Spanking Blog


Mes chères lectrices, c’est moins la douleur qui m’attire dans la fessée que les émotions que j’en retire. Ces situations fonctionnent chez moi comme un fétichisme. Je fétichise donc une scène, une mise en œuvre. D’ailleurs, aucune fessée donnée à un homme ne pourra sublimer à mes yeux, celles que peuvent recevoir les femmes, sur leurs jolis arrières-trains. Même si les hommes, le méritent bien davantage, eux, les pourvoyeurs de souffrance.



Je n’ai pas du tout la même excitation lorsque je vois Géraldo se faire fesser par Ava Swann, que lorsqu’elle corrige Ninon ou Alice. Pour le premier, je suis ravie de le voir nu comme un vers, vulnérable aux vexations d’une dominatrice encore habillée de son imperméable mouillé par la pluie qu’il tombe dehors. En ce qui concerne les secondes, ce sont leurs corps frêles qui m’émeuvent le plus, leurs visages s’empourprant. Le premier est d’ordre politique et éthique, si je puis dire, les secondes esthétiques et poétiques.



Mes adorables lectrices, aucune fessée donnée à une femme par monsieur n’est pardonnable. Je pense que les hommes ne peuvent en dire autant. Ils devraient êtres fessés très souvent. Il est urgent d’ailleurs d’organiser une correction géante où les hommes seraient tous punis à chaque fois qu’une femme meurt par leurs fautes, ou tout simplement pour le plaisir.



Il m’est arrivé très souvent le soir, de rêver à des situations insensées dans lesquelles je me retrouvais prise. Me voir femme de ménage dans un grand manoir dirigée par une maîtresse de maison, me sentir élève infirmière au prise avec ma directrice, être l’employée harcelée par la gérante d’un grand magasin de chaussures.



Mais rassurez-vous messieurs, car finalement votre place semble être la plus enviable. Vous verrez, il n’y a pas de meilleures positions qu’un homme aux pieds d’une femme et celles où vous êtes retroussés par celles qui rendent votre vie possible.

Votre très chère Mathilde Papillon...

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